Culture numérique des jeunes et enseignement des arts plastiques
Arianne Blanchet Lapointe
Étudiante en enseignement des arts visuels et médiatiques à l’UQAM
Biographie
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Il n’est pas étonnant d’apprendre que les jeunes passent un nombre impressionnant d’heures par jour devant divers écrans. La majorité des adolescents d’aujourd’hui possède un téléphone intelligent. Posant un regard rigoureux sur la relation des jeunes avec les écrans, Bach, Houdé, Léna et Tisseron ont publié une étude sur le sujet en 2013. Sans écarter certains effets néfastes de l’omniprésence des nouveaux médias, comme la réduction des heures de sommeil et la réduction de la capacité d’attention, l’étude apporte des points de vue nuancés sur les enjeux de la culture du numérique chez les jeunes. En effet, l’étude se penche sur le rapport à l’apprentissage induit par les nouveaux médias, ceux-ci favorisant notamment le développement d’une pensée spatialisée. Mais à la lumière de ce qui précède, on peut comprendre pourquoi la présence des technologies en classe reste pour le moment mitigée.
Dans ce texte, je montrai comment l’enseignant en arts plastiques peut tirer profit, grâce à sa matière, du foisonnement des avancées du numérique et des nouveaux médias. Il sera question de la place privilégiée qu’occupe l’enseignant d’art pouvant servir de « pont » entre la culture numérique des jeunes et les compétences transversales d’ordre intellectuel du Programme de formation de l’école québécoise (PFEQ, 2007) : « Exploiter l’information ; Résoudre des problèmes ; Exercer son jugement critique ; Mettre en œuvre sa pensée créatrice ». Suite à ce propos, je donnerai des exemples de projets pédagogiques réussis : certains sont en réseaux, d’autres intégrant diverses technologies. Certains des sujets traités seront accompagnés de quelques commentaires personnels à propos de la culture numérique des jeunes et des liens à tisser avec l’enseignement des arts.
Nouveaux médias, nouveaux enjeux
Depuis l’arrivée du caméscope, les artistes se sont approprié les codes de la vidéo pour créer des œuvres artistiques. En d’autres mots, il y a eu une démocratisation des médias traditionnels qui s’est opérée tant pour les artistes que le grand public à partir du début des années 80. Nous sommes à l’apogée de cette démocratisation grâce au partage de l’information par les réseaux sociaux. Dans l’espace médiatique, les nouveaux médias sont considérés comme une extension de l’espace de diffusion de l’information. Simon Jodoin, rédacteur et directeur du développement des nouveaux médias au Voir explique que les réseaux sociaux et l’internet apportent dans l’imaginaire collectif une démocratisation de l’information.
Il s’agit de nouveaux lieux et de nouveaux espaces à investir. (…) Ce faisant, les plus motivés des internautes participant à ce mouvement ont cru — et croient toujours — qu’ils participaient à un réseau de communication ouvert, transparent, plus authentique que les médias traditionnels qui, eux, étaient réputés fermés, hypocrites, opaques quand ils n’étaient pas tout bonnement soupçonnés de participer à une certaine forme d’occultation encouragée par les pouvoirs politiques et financiers. (Jodoin, 2013).
Malheureusement, la diversité des sources ne garantit pas nécessairement la qualité de l’information qui circule. Les récentes élections américaines ont confirmé cette tendance en matière de partage d’informations en provenance de sources inconnues et souvent douteuses.
Nouveaux médias et enseignement des arts
Dans le livre Culture populaire et enseignement des arts : jeux et reflets d’identité l’auteure Moniques Richard (2005) indique que le PFEQ comprend un volet qui concerne les médias et la consommation. Celui-ci a pour but de préparer l’élève à devenir un citoyen critique et responsable. Elle soulève que « les arts ne sont pas nommés comme ancrage disciplinaire des compétences liées aux médias, malgré le rôle actif que joue l’enseignant des arts dans la sensibilisation à ce domaine de formation » (Richard, 2005, p 79). Comme nous l’apprenons dans nos cours de didactique des arts plastiques, lorsqu’on parle d’une création médiatique, on parle aussi d’une création adressée à un destinataire précis. Bien que la compétence de l’appréciation des œuvres permet aux élèves de développer une vision critique en regard d’une production artistique ou médiatique, il serait intéressant qu’une attention particulière soit portée sur la façon dont les messages sont véhiculés dans les médias. À ce sujet, Richard explique que l’aspect de la production des médias n’est pas exploité par le programme des arts plastiques : « Les médias s’inscrivent dans un réseau complexe de communication et de distribution en tant que produits d’informations et de consommation […] les médias contribuent à la construction d’une culture et d’une identité» (Richard, 2005, p 79).
Il est certes vrai que lors de l’appréciation d’images médiatiques, nous parlons rarement du véhicule de diffusion de celles-ci. Par exemple, les nouveaux médias, comme les réseaux sociaux, nous forcent à repenser nos façons de communiquer et de transmettre de l’information et il serait pertinent d’en parler davantage en arts plastiques. Richard (2005) pense que l’éducation aux médias devrait « s’ouvrir à la culture visuelle et à l’esthétique au quotidien » (p. 79). À titre d’exemple, les réseaux sociaux ont donné naissance à une culture visuelle propre en elle-même. Pensons aux « Memes »[1] et au « GIFs »[2] qui font maintenant partie de la culture populaire tout en étant des outils de communication très efficaces. Comme le dit Richard (2005), l’enseignant d’arts doit s’intéresser à la culture des jeunes pour donner la possibilité à ses élèves de « s’approprier et de subvertir les codes et les pratiques » (p. 79). Effectivement, l’élève qui réinvestit les codes utilisés par les médias arrive à mieux saisir les nuances de ces derniers. Lorsqu’un élève démontre qu’il est capable de détourner le langage plastique véhiculé par la culture populaire, il est en train d’explorer une forme de point de vue critique. En ce sens, l’enseignant d’arts plastiques occupe une place de choix pour nourrir les réflexions de l’élève face aux images auxquelles il est confronté quotidiennement.
Être passionné par les jeunes et leurs cultures
Selon moi, l’enseignant spécialiste en arts plastiques doit rester à l’affut des univers visuels et culturels dans lesquels ses élèves évoluent. En sachant à quoi s’intéressent ses élèves, l’enseignant arrive à trouver des repères culturels qui sont signifiants pour l’élaboration des projets présentés à ses classes. Pensons au populaire réseau social Instagram qui est largement utilisé par les jeunes où les personnes abonnées sont amenées à cadrer leurs photos ainsi qu’à appliquer des filtres sur ces dernières pour en améliorer l’apparence. On entend souvent dire qu’Instagram encourage des valeurs superficielles. Pourtant, cette pratique en photographie n’est pas récente. Depuis les débuts de la photographie, les photographes altèrent leurs images pour obtenir un meilleur résultat. Avec l’exemple du réseau social Instagram, il est possible de créer un pont entre la culture populaire des jeunes et la culture savante. L’enseignant pourrait par exemple présenter des œuvres de Man Ray pour parler des modifications en photographie. Comme nous l’avons déjà souligné, décortiquer les codes de la culture populaire et plus précisément celle du numérique s’avère utile pour l’élève et sa construction identitaire; il consulte quotidiennement les médias sociaux en plus d’interagir avec de nombreuses applications. De plus, ces diverses plateformes offrent la possibilité d’avoir plus qu’une identité puisqu’il est possible d’avoir plusieurs comptes sous différents noms ; posséder plusieurs identités virtuelles chamboule le concept de l’identité unique, stable et figée. L’enseignant d’arts a le pouvoir d’aider l’élève à devenir critique face aux nouveaux médias et à réfléchir à l’utilisation qu’il en fait dans sa pratique culturelle informelle.
Conformément à ce qui précède, l’enseignant en art a la possibilité de puiser dans les technologies numériques de la communication des idées susceptibles d’alimenter l’intérêt de l’élève envers la culture artistique et d’explorer avec lui divers univers virtuels qui permettent entre autres la création de plusieurs avatars. Ainsi, il lui offre la possibilité de développer un regard sensible par rapport à l’esthétisme lié à un outil usuel du quotidien et à sa culture immédiate tout en contribuant à sa construction identitaire. Je pense que les nouveaux médias offrent une riche potentialité pour saisir les liens entre la culture populaire et la culture savante et favoriser la formation de futurs citoyens avertis : ils sont un tremplin puissant.
Projets artistiques et pédagogiques inspirants
Pour poursuivre, intéressons-nous à divers exemples de projets artistiques et pédagogiques qui montrent cette possibilité d’intégrer les nouveaux médias et les réseaux sociaux dans un cadre scolaire. Le centre Turbine est un centre de création pédagogique en arts actuels qui a comme mission de rendre accessibles les arts médiatiques dans diverses communautés et écoles (Centreturbine.org). À titre d’exemple, le projet Cacographie, initié par ce centre et chapeauté par les pédagogues Marie-Pierre Labrie et Yves Amyot, proposait un atelier de création d’une vidéo réalisée dans une classe de 1er cycle du primaire à l’école Chanoine-Joseph-Théorêt de Verdun. Marie Valade, l’artiste vidéaste, accompagnait les élèves dans une création portant sur l’alphabet et celle-ci était réalisée à l’aide de Ipods. L’artiste a initié les élèves à une variété de procédés artistiques comme le modelage et l’image par image. Ces éléments s’additionnaient au projet pour former un tout qui devint une animation vidéo expérimentale réalisée avec l’aide de l’artiste Dominique Coté. Les arts médiatiques facilitent effectivement la mise en commun de créations d’élèves pour en faire un projet collectif. De plus, ce travail en collaboration permet aux enseignants de démontrer aux élèves, par des exemples concrets de la vie des jeunes, l’importance du vivre ensemble et citoyenneté, l’un des Domaines généraux de formation du PFEQ. Les élèves étaient à même de visualiser comment leur implication contribue à la réussite d’un projet de groupe.
Il est parfois difficile d’évaluer les étapes qui mènent à la création finale d’un élève. Cela dit, les arts médiatiques permettent quant à eux de documenter le processus de création, la démarche des élèves et une variété d’explorations pouvant être considérées comme un projet en soi. De plus, la vidéo permet la diffusion du résultat du dit projet dépassant ainsi le traditionnel affichage des travaux 2D sur les tableaux d’affichage et murs des corridors de l’école. Le directeur du centre Turbine, Yves Amyot, dans son ouvrage Le Marcheur pédagogue démontre une façon d’enseigner les arts médiatiques inspirés de la métaphore du rhizome (2003, p. 100). Il parle d’une pédagogie en réseau qui permet la mise en commun des savoirs et des créations des participants à un projet. Par l’intermédiaire des nouveaux médias, inspirés du concept de la toile d’araignée, les participants tissent différentes parties d’une même grande toile numérique. Cette façon de diriger le projet permet aux participants de contribuer activement à l’élaboration d’idées et de découvertes. « Le pédagogue qui agence se permet une latitude, une liberté de penser, car il s’éloigne de l’objectif de vouloir construire des vérités » (Amyot, 2003, p. 117).
Des Mots qui font du bien est un autre projet du centre Turbine, orchestré par Marie-Pierre Labrie, qui représente cette idée d’appropriation des codes du numérique tout en créant dans un esprit de collaboration. Pour ce dernier, les élèves étaient invités à échanger des textos à connotation positive. Développé avec la collaboration de la chorégraphe Sara Hanley, cette création permet de démontrer qu’il est possible d’intégrer de façon originale des composantes de la culture des jeunes dans le programme scolaire. Cela permet à ces derniers d’avoir un point de vue critique sur leurs propres lieux communs. En effet, les élèves expliquaient, lors de l’élaboration du projet, qu’ils avaient l’impression de s’enfermer dans une bulle lorsqu’ils textaient. Le projet incluait également le domaine de la danse, ce qui venait créer un contraste avec l’isolement généré par l’utilisation individuelle du cellulaire. La culture des jeunes était valorisée par les pédagogues qui participaient à cette réalisation d’envergure présentée comme spectacle dans un espace culturel de leur quartier ; la Tohu.
Intéressons-nous maintenant à la pédagogie en milieu communautaire. La Maison Kekpart à Longueuil est une maison des jeunes à vocation artistique et sa mission est de lutter contre le décrochage scolaire chez les jeunes (Maisonkekpart.com). Les intervenants de Kekpart savent qu’il était essentiel de s’intéresser à la culture des jeunes. Cette maison élabore ses projets grâce à la philosophie pédagogique du réseau pour soutenir la motivation des jeunes. Les utilisateurs de la maison réalisent des projets artistiques grâce à des outils comme l’enregistrement sonore, la vidéo et la photographie. Le programme de création mis en place dans cet espace communautaire leur permet de réaliser des projets dont les résultats s’apparentent à ceux des professionnels. Les animateurs de la maison des jeunes utilisent les réseaux sociaux pour bâtir un espace de partage culturel entre les intervenants et les participants. Cette méthode de fonctionnement a pour effet de responsabiliser l’apprenant tout en utilisant une façon de créer qui s’insère dans sa culture immédiate. Martin Lalonde et Juan Carlos Castro, tous deux chercheurs à l’Université Concordia, se sont penchés sur la pédagogie instaurée par la Maison Kekpart et ils en tirent des conclusions intéressantes : « Les jeunes collaborent directement avec des artistes pédagogues. Ils utilisent Facebook, Instagram et YouTube comme modes d’expression, d’une part, et comme outils de développement de leur savoir-faire en multimédia, d’autre part » (Desjardins, 2015). Selon les deux chercheurs, les jeunes développent des compétences en fréquentant ces différents lieux, dont la plateforme Instagram. Les éducateurs de la maison utilisent les outils familiers des adolescents et les font cheminer vers des dispositifs plus spécialisés. Autrement dit, cet organisme permet aux participants d’aller plus loin sur le plan scolaire tout en ayant la possibilité d’envisager un réinvestissement de leurs compétences d’un point de vue professionnel.
Pour qu’il y ait de tels échanges, il faut que l’apprenant, peu importe son âge, sente que ses idées et sa culture ont une valeur à l’intérieur du groupe et aux yeux de l’enseignant en art. Entre l’enseignant et l’élève, il doit y avoir un partage. Par contre, cette relation n’est pas nécessairement facile à établir et elle comporte plusieurs défis. Reprenons l’exemple de l’application Instagram pour mieux comprendre cette idée. Un élève dans une de mes classes d’arts plastiques montre un vif intérêt pour la photographie, mais sa pratique se résume à l’usage de cette application. Je remarque le potentiel de l’élève et je vois que l’usage de cette application fait en sorte qu’il se sent reconnu par ses pairs. En regard de cette observation, je décide de faire un projet de photographie en arts plastiques pour faire découvrir à mes élèves des pratiques actuelles en photographie. Je pousse la chose encore plus loin en établissant une collaboration avec mes élèves pour bâtir mon cours. Je leur demande de trouver sur Instagram des artistes qui utilisent la plateforme pour promouvoir leur travail. Évidemment les étapes de ce projet pourraient être approfondies et comporter diverses extensions. Ce que j’avance, c’est que dans un tel contexte, il y a eu échange entre l’enseignant et les élèves et que les deux entités ont accès à des savoirs différents qui se complètent, reprenant ainsi l’idée d’Amyot : « Malgré le rôle important de l’enseignant dans cette mise en circulation, l’élève doit prendre conscience de ce qui le motive » (Amyot, 2003, p 117).
Une des caractéristiques positives des nouveaux médias est qu’ils suscitent une remise en question de nos façons de partager le savoir. L’idée du savoir en réseau démontre bien cette construction spatialisée des données comme on les retrouve sur internet par exemple. Dans un cadre pédagogique, cette notion se transmet par une volonté de cohésion sociale au sein du groupe. À ce propos, Lalonde et Castro précisent :
Que les nouvelles technologies de communication ne représentent pas seulement un moyen supplémentaire pour créer l’art, elles le transforment en redéfinissant les termes de son partage. Enseigner les arts médiatiques signifie entreprendre des démarches de co-construction sociale des savoirs et des compétences nouvelles qui sont intégrées à un projet sociétal plus large. Là est précisément la leçon du communautaire au scolaire. (Lalonde et Castro, 2014)
Pour conclure, nous pouvons confirmer que la culture du numérique apporte son lot de défis pour le champ de l’enseignement des arts. L’enseignant en arts plastiques a le potentiel de stimuler la créativité de ses élèves en utilisant les technologies, mais aussi en donnant aux jeunes un espace et des moyens pour exercer leur sens critique. Le pédagogue a la possibilité d’aider les élèves à cheminer dans la découverte de leurs identités personnelles, et ce, à travers cette culture numérique qui leur permet d’explorer plusieurs identités virtuelles. Toutefois, en tant que pédagogue, il faut rester critique face aux technologies qu’on souhaite nous imposer. Nous ne voudrions pas nous retrouver avec un autre casse-tête pour les écoles comme ce fut le cas avec le contesté lègue des tableaux blancs de l’époque de Jean Charest.
Plusieurs projets réalisés dans les écoles du Québec montrent la valeur d’une approche qui envisage les nouveaux médias comme un levier dans la classe d’art. L’univers des nouveaux médias et des arts médiatiques tels que mobilisés par les artistes offrent la possibilité aux enseignants d’arts plastiques de faire rayonner leur matière en proposant à leurs élèves des projets innovateurs. L’utilisation du numérique dans leurs classes prouve que cette matière a sa place dans les programmes scolaires et qu’elle aide à préparer l’élève à vivre dans des espaces qui sont de plus en plus virtuels, dans une société de plus en plus techno. Nous le savons bien, l’un des buts de l’école est de préparer l’élève pour qu’il contribue à la société de demain. Le monde du travail connaît de profonds changements à cause de cette omniprésence du numérique, il est donc primordial que les jeunes développent une grande capacité d’adaptation et une aisance avec les nouveaux médias afin de se réaliser pleinement comme personne et exercer leur rôle de citoyen de manière créative, critique et pertinente.
Liste de références
Amyot, Y. (2003). Le marcheur pédagogue. L’Harmattan, Paris.
Bach. J-F, Houdé. O., Léna. P. et Tisseron, S. (2013). L’enfant et les écrans un avis de l’Académie des sciences. Paris : Éducation le Pommier. Repéré à http://www.academie-sciences.fr/pdf/rapport/avis0113.pdf
Desjardins, C., (2015). Et si YouTube ou Instagram facilitaient l’apprentissage en classe? Repéré à https://www.concordia.ca/content/shared/fr/actualites/central/communiques-de-presse/2015/04/14/apprentissage-et-youtube.html
Guillaud, H. (2013). Enfants et écrans ; psychologie et cognitions. Repéré à http://www.internetactu.net/2013/01/29/enfants-et-ecrans-psychologie-et-cognition/
Jodoin, S. (2013). Les nouveaux médias, promesses et périls. À bâbord !. Repéré https://www.ababord.org/Les-nouveaux-medias
Lalonde, M. et Castro, J. (2014). Leçon du communautaire, l’enseignement des arts médiatiques à la maison Kekpart. Revue Vision, Numéro 77, 20-25
Gouvernement du Québec : MELS. (2007). Programme de Formation de l’école Québécoise. Enseignement secondaire, deuxième cycle.
Richard, M. (2005). Culture populaire et enseignement des arts. Jeux et reflets d’identité. Sainte-Foy, QC : Presses de l’Université du Québec.
[1] Définition memes : élément de la culture du numérique. Qui imite quelque chose.
[2] Définition de Gif : Animation numérique et virtuelle datant de 1987.
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